Désormais, la RDC doit compter sur une nouvelle puissance politique : les Forces du Changement du Moise KATUMBI, dont la première rencontre a débuté depuis ce samedi matin à Johannesburg avec la participation de toutes les organisations politiques et sociales, sans compter les personnalités et les partenaires qui soutiennent l’ancien Gouverneur du Katanga. Ainsi, aux côtés des plates formes et des organisations dont le soutien à la candidature du Président du TP Mazembe, les présentes assises ont vu apparaître un aréopage de personnalités venues des quatre coins du monde et de toutes les provinces de la RDC pour répondre à l’invitation du désormais leader des Forces du Changement.
En l’occurrence, aux côtés de Pierre LUMBI, de Christian Mwando et des autres gros poissons du G7 et de l’AR, il y a la présence remarquable de plusieurs personnalités et un bon nombre de journalistes congolais basés à Goma-d’ou sont venus également des cadres comme Patrick Mundeke- et de Kinshasa. Dans son discours d’ouverture, Moise KATUMBI a commencé par remercier les participants et la République Sud Africaine « Qui a toujours répondu présent quand le peuple congolais avait besoin de son appui ». A titre d’exemple, il a invoqué le Dialogue Inter Congolais avant de regretter que le comportement du pouvoir en place à Kinshasa ait empêché que les Forces du Changement soient lancés sur le territoire national.
Avant de poursuivre, l’orateur a condamné la répression des manifestations et rendu hommage aux victimes de cette barbarie tout en proclamant que ces derniers étaient des héros, des modèles dont le sacrifice ne doit pas être vain.
L’assistance a observé une minute de silence en leur mémoire.»
Concernant les Forces du Changement, KATUMBI les présentent comme « La réponse au devoir de barrer la route à la dictature et à la nécessité de bâtir un Nouveau Congo qui doit être un pays démocratique, libre, prospère et dont les citoyens doivent équitablement bénéficier des immenses richesses tout en jouissant pleinement de leurs droits et libertés.
Aline ENGBE